Elodie – 02 – Mauvaise Rencontre

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Cela fait 6 mois que je n’ai pas revu Pierre et nos échanges s’espacent. La vie normale a repris son cours et Stéphane prend de plus en plus de place, Elodie ne trouve plus la sienne.
Mais ce soir je suis seule pour le week-end alors Elodie prend le pouvoir. J’appelle Pierre mais il ne peut pas venir ce week-end. Tant pis, si je l’ai trouvé, je peux en trouver un autre, non ? Bon, ce n’est pas sympa, ok, mais j’en ai très envie.
Le plan précédent ayant bien marché, je réitère, ce soir ce sera drague au Centaure et comme je ne suis plus vierge, je serai un peu plus coquine. Je me suis achetée une nouvelle robe assez courte avec manches, noire avec une bande blanche sur chaque côté ainsi qu’un ensemble de lingerie en dentelle noire et blanche composée d’un porte-jarretelles, d’un tanga et d’un soutien-gorge. J’ai aussi une nouvelle paire de bas, ils sont noirs avec une jarretière blanche. Le thème est en blanc et noir ce soir.
Rituel de la douche, du coiffage, du maquillage, du manucurage et du parfumage. Quelques bijoux, des escarpins à talons plus hauts que la dernière fois et me voilà partie. Même pas peur, je l’ai déjà fait.
Mais rien ne se passe jamais comme prévu. La voiture tombe en panne à mi-parcours. Impossible de repartir. Que faire ? Appeler un ami, une dépanneuse ? Impossible, je serai grillée. Rentrer à pied, c’est trop loin. Faire du stop ? Pareil, trop risqué. Note pour plus tard, penser à prendre une tenue de rechange. Bon mais que faire. Je sors mon téléphone et consulte mes contacts dans l’espoir de trouver une idée géniale. Je n’entends la voiture arrivée que lorsqu’elle s’arrête à ma hauteur. La vitre côté passager s’ouvre et un mec d’une quarantaine d’année me lance « Bonsoir Mademoiselle, vous avez un problème ? ». Je bredouille tant bien que mal « Non, tout va bien, merci ». La vitre remonte et la voiture repart mais revient 10 minutes plus tard sans que je n’ai trouvé de solution.


- Vous êtes sûre que tout va bien ? Me demande le même type.
- En fait pas tant que ça, ma voiture ne démarre plus et je ne trouve personne pour venir me chercher.
- Moi et mon pote on peut peut-être vous déposer quelque part ?
- J’habite à Pont-d’Ain, ce ne serai pas trop loin ?
- Du tout, on doit y passer de toute façon.
- D’accord, merci.
Je récupère mon sac, sors et ferme la voiture et monte à l’arrière de la leur. Ils sont effectivement deux. Le chauffeur semble avoir le même âge que le passager. Il se présentent Eric et Philippe, ils habitent à Bourg-en-Bresse mais ils sont en route pour Lyon. Ils sont sympas et nous discutons pendant les 20 minutes qu’il faut pour atteindre ma maison. Une fois arrivés ils me demandent si je n’aurais pas un café pour les aider à tenir le coup pour le restant de leur route. J’hésite mais ils viennent de me dépanner alors je les invite à entrer. Je les installe au salon pendant que je vais préparer le café. De la cuisine je les entends discuter à mi-voix. De retour au salon je leur sers leur café et m’installe dans le fauteuil en face d’eux. Je me rends compte qu’ainsi la lisière de mes bas apparait et tente de redescendre le bas de ma robe.
- Vous êtes bien jolie Mademoiselle, vous étiez en route pour le Centaure ? Me demande Eric.
- Heu, oui. Merci encore de m’avoir dépannée.
- Ha ! Tu vois, j’avais raison et pour le reste aussi, je suis sûr. Dit-il en se tournant vers son copain.
- Ben t’as qu’à lui poser la question.
- Ok, alors mon pote et moi on a parié.
- Ha bon et à quel propos ?
- Moi je dis que vous êtes un mec, une tarlouze.
- Bon, Messieurs, je pense qu’il est grand temps que vous repreniez la route. Dis-je en me levant.
- Ok Mademoiselle. Désolé si je vous ai choquée. Dit-il en se levant.
Mais en passant devant moi pour sortir il lance sa main sur mon entre-jambe, attrapant mon service 3 pièces enfermé dans son tanga.

- Ha ! Tu vois j’avais raison, c’est une tarlouze. Tu veux vérifier ?
Le mec me lâche, il m’a fait mal le con.
- Bon, ça suffit sortez maintenant.
- Vous étiez partie pour vous amuser, vous ne voulez pas qu’on s’amuse ensemble.
- Non merci. Je vous prie de bien vouloir sortir.
- Je vois c’est comme pour votre panne, vous n’osez pas demander de l’aide mais nous on veut bien vous aider. Vous avez l’air d’avoir chaud aux fesses ce soir, on peut peut-être faire quelque chose ?
- Dehors, je ne répèterai pas !
Je n’en mène pas large, ils sont deux et plus grands et plus forts que moi.
Philippe fait mine de partir mais Eric reste sur place.
- Et sinon ?
- J’appelle la police.
- Ok, vous voulez que je le fasse pour vous ? ça va leur faire drôle de vous voir comme ça. Elle en pensera quoi votre femme et vos s que je vois sur la photo là-bas ?
Putain la conne. Qu’est-ce qui m’a pris.
- Bon, Ok, vous voulez quoi ?
- Juste une petite gâterie pour mon copain et moi.
- Comment ça ?
- Tu nous suces salope !
La violence de l’invective me secoue, je ne veux pas, je ne peux pas. Mais je n’ai pas le choix.
Philippe a compris m’a reddition et il s’installe sur le canapé en laissant tomber son pantalon et son slip. Il est assis, se caresse en me caressant et je vois son sexe se durcir.
- Allez ! Tu commences par mon pote après tu t’occuperas de moi.
Contrainte et e je m’agenouille devant Philippe qui me regarde d’un air gourmant. Je le caresse rapidement avant de le prendre en bouche, autant en finir au plus vite. Je l’entends commenter ma prestation à son pote : « Putain ! Elle suce bien la salope, tu vas voir Eric, c’est une pompe à foutre ! ». Contre toute attente je ne peux m’empêcher d’être émoustillée par la situation. Mais je refrène mes instincts, ce n’est pas ce que je veux. Je le suce donc de plus en plus vite, le lui branle la queue en même temps pour aller au plus vite.
Tout à coup je sens ma robe se relever, je lève la tête pour voir ce qui se passe mais Philippe me l’att et le maintien sur sa queue. Je sens alors des mains sur mes fesses qui passent rapidement à mon sexe, le caresse et des doigts le pénètrent brutalement.
Je cris et me débat toujours avec la queue de Philippe dans la bouche tandis qu’Eric me maintien par les hanches. Il a baissé mon tanga, j’ai senti sa salive sur mon sexe et je sais ce qui va se passer. Je tente d’échapper à leur poigne mais je suis mal placée. Il force, je me contracte. Il me donne alors une énorme claque sur les fesses qui me fait pousser un cri de douleur étouffé par la queue de Philippe. Il me crache à nouveau sur le sexe et se représente, cette fois je laisse faire et il me pénètre, il doit avoir une queue fine car il ne me fait pas mal. Il commence aussitôt à me donner de violents coups de boutoirs comme un animal en rut. Honte à moi, tandis qu’il me prend comme une levrette, je commence à prendre du plaisir. Au bout de quelques instants de se traitement je commence à gémir au rythme de ses assauts. « Ha ! Tu vois que t’es une salope, t’aime ça la queue ! Sale pute ! ». A ce rythme il ne teint pas longtemps et jouit dans un râle. « A moi ! » annonce Philippe, « elle n’a pas réussi à me vider les couilles ». Ho ! Non, il a une petite queue mais épaisse. Je me relève mais Eric me maintien en position et je sens bientôt la queue de Philippe m’envahir, ouverte et lubrifiée par Eric, il rentre presque sans forcer. Il est plus lent que lui mais tout aussi brutal et il ne tarde pas à venir.
Je m’écroule, ils se rhabillent et s’en vont sur un « Tu nous appelle quand tu veux salope ».
Je reste seule avec ma honte.

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